« Nous voulons une société d’émancipation qui porte la solidarité car elle implique forcément d’aller à la rencontre des autres en sortant des cases pré-établies qui enferment les individus. Nous voulons une société de liberté. Nous voulons une société métissée, basée sur le partage des cultures, des savoirs et des expériences. C’est-à-dire que chaque individu, dans sa singularité, dans sa particularité, s’épanouit, se réalise, s’enrichit au fur et à mesure de ses rencontres.
Nous refusons de nous enfermer dans une logique de peur qui exclurait l’autre, qui nous coupe de tout nouvel apport et de tout nouvel enrichissement. »
Nous refusons de nous enfermer dans une logique de peur qui exclurait l’autre, qui nous coupe de tout nouvel apport et de tout nouvel enrichissement. »